Études sur deux plans d'eau
Deux études sont en cours sur deux plans d'eau publics : l’étang du Roc de la France sur les communes de Latronquière et de Lauresses et l’étang de Cassaniouze.
Étude pour le réaménagement de l’étang du Roc de la France
L’étang du Roc de la France d’une surface d’environ 9000 m² était situé directement sur le cours d’eau du Goutepeyrouse, qui prend sa source sur la commune de Latronquière. Le plan d’eau était situé sur les communes de Latronquière et de Lauresses. Il était bordé par des chemins de promenade et ses abords étaient équipés d’aires de détente.
Ce plan d’eau présentait un fonctionnement écologique très fortement impacté avec un fort envasement, une qualité de l’eau dégradée, une détérioration de la qualité des milieux. Son fonctionnement hydraulique était impacté également.
En aval du plan d’eau, la station d’eau potable de Longuecoste alimente 17 communes du Ségala lotois.
En aval du plan d’eau, la station d’eau potable de Longuecoste alimente 17 communes du Ségala lotois.
Afin de mieux appréhender l’origine des troubles et les solutions pour y remédier, une étude de réaménagement a été lancée en 2014.
Étude du plan d’eau de Cassaniouze
Le plan d’eau de la commune de Cassaniouze présente une eutrophisation du milieu avec un important développement d’algues qui nuit aux usages liés à ce plan d’eau, notamment halieutique et touristique. L’eutrophisation du plan d’eau résulte d’un déséquilibre de son écosystème occasionné par un apport excessif de nutriments : azote contenu dans les nitrates, matière organique et phosphore.
Une étude sera menée en 2016 pour :
approfondir le diagnostic du plan d’eau
identifier précisément l’origine des pollutions
mettre en place des actions permettant d’améliorer le fonctionnement du plan d’eau et de minimiser les impacts sur les milieux et sur la plus importante population de moule perlière connue sur le bassin du Célé.
identifier précisément l’origine des pollutions
mettre en place des actions permettant d’améliorer le fonctionnement du plan d’eau et de minimiser les impacts sur les milieux et sur la plus importante population de moule perlière connue sur le bassin du Célé.