Contrat de rivière Célé
Les objectifs des Contrats de rivière Célé
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L’ensemble des actions programmées dans les Contrats de rivière Célé 2014-2019 et 2020-2024 a été élaboré en déclinaison du SAGE Célé ainsi qu'avec les différents outils de planification en vigueur.
Ces actions doivent en effet permettre de répondre aux exigences du Schéma Directeur d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SDAGE) Adour-Garonne et aux obligations règlementaires relatives aux milieux aquatiques, tout en étant cohérente avec les démarches partenariales présentes sur le territoire.
Ces programmes de cinq années visent à remplir les objectifs d’atteinte du bon état des eaux fixés par la Directive Cadre sur l’Eau.
Le Contrat de rivière 2014-2019
Le programme d’actions du Contrat de rivière Célé comprenait 29 actions pour un montant total de 23 502 594 €. Fin 2019, le montant total des opérations réalisées dans le cadre du Contrat de rivière atteignait 18 790 031 €.
Le Contrat de rivière 2020-2024
Afin de poursuivre le travail de déclinaison opérationnelle du Schéma d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) du Célé, le Syndicat mixte Célé – Lot médian a élaboré, en concertation avec ses partenaires, un nouveau Contrat de rivière pour la période 2020-2024.
Ce nouveau projet prévoit la réalisation de 16 actions réparties en 6 volets :
Volet A - Lutte contre les pollutions (4 actions) ;
Volet A - Lutte contre les pollutions (4 actions) ; Volet B1 - Préservation des milieux aquatiques (3 actions) ; Volet B2 - Prévention des inondations (3 actions) ; Volet B3 - Préservation de la ressource en eau (2 actions) ; Volet B4 - Valorisation des loisirs aquatiques (2 actions) ; Volet C - Gouvernance, communication et suivi du Contrat de rivière (2 actions).La mise en œuvre de ces actions représente un montant estimé à 30 millions d'euros sur 5 ans, parmi lesquels 17 millions concernent des opérations dites « prioritaires » pour atteindre l'objectif de bon état écologique des cours d'eau fixé par l'Union européenne et l'Etat.
A cela, ce Contrat de rivière ajoute la volonté d'adapter la gestion de l'eau au changement climatique sur le bassin du Célé.